Film

( ENGLISH WILL FOLLOW)

Un film de Lina B. Moreco   

POUR ACHAT version française et anglaise : http://blogue.imtl.com/2009/09/sortie-du-dvd-silence-on-vaccine-de-lina-b-moreco/  

PRODUCTION :OFFICE NATIONAL DU FILM DU CANAD /    NATIONAL FILM BOARD OF CANADA.

Depuis leur mise au point au début du vingtième siècle, les vaccins constituent une formidable réussite médicale et scientifique. Aujourd’hui perçue comme une incontournable nécessité, la vaccination nous est si familière que ses risques potentiels sont peu souvent évoqués.

Pourtant, l’enjeu est loin d’être négligeable. Selon les recommandations des Agences de Santé, l’enfant nord-américain reçoit environ 48 doses de 14 vaccins différents avant l’âge de six ans, soit le double du nombre prescrit 25 ans auparavant. Malgré cette croissance exponentielle, peu d’études indépendantes de l’industrie pharmaceutique sont réalisées sur leurs effets secondaires à long terme. Une situation préoccupante quand on connaît le nombre élevé des substances toxiques qui entrent dans leur composition. Le mercure et l’aluminium ne sont que quelques-uns de ces éléments nocifs, présents en quantités substantielles dans certains vaccins couramment administrés.

Inquiets, plusieurs pédiatres et scientifiques sonnent l’alarme. Des recherches en cours semblent indiquer que la vaccination serait directement responsable de désordres immunitaires ou neurologiques chez certaines personnes prédisposées génétiquement ou neurologiquement à mal réagir aux composantes des vaccins. Autisme, sclérose en plaques, syndrome de Guillain-Barré, myofasciite à macrophages, encéphalites, paralysies, neuropathies et autres; la liste des maladies répertoriées indique bien la gravité de la situation.

En dépit de ces constatations, l’industrie pharmaceutique et les autorités gouvernementales refusent d’y voir un problème sérieux. S’appuyant sur des études sommaires, dont certaines datent de la fin des années 1920, ils rejettent d’emblée tout lien de cause à effet. Quand on sait que l’ajout d’agents de préservation comme le thimérosal (mercure) contribue à réduire les coûts de production, la réaction de l’industrie pharmaceutique laisse pour le moins perplexe. Préférant ne pas remettre en question un système qui a fait ses preuves, une majorité des membres de la profession médicale rejette toute allusion au potentiel de toxicité des vaccins.

Interpellés par les nombreux cas d’autisme observés dans leur pratique, certains médecins et chercheurs jugent cependant qu’il faut pousser les recherches plus loin. À l’image du Britannique Andrew Wakefield qui a subi les foudres de son association pour avoir poursuivi ses investigations sur les liens probables entre la vaccination et certains cas problématiques.

Plusieurs témoignages abordent aussi la question de la reconnaissance des victimes, notamment ceux d’Aurélie (jeune Française sérieusement diminuée par la sclérose en plaques après avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B à l’âge de 14 ans) et de son compatriote Yves (atteint d’une maladie neuro-musculaire dégénérative le myofasciite à macrophages, qui s’est déclarée après l’administration d’un vaccin contre l’hépatite A), ou encore ceux de nombreux parents qui ont vu leurs enfants régresser après une séance de vaccination. En France et aux États-Unis, des groupes ont été créés pour alerter l’opinion publique et organiser des recours en justice afin de pouvoir offrir une compensation aux victimes. Les gouvernements ont aussi mis en place des Programmes d’indemnisation des victimes de la vaccination. Malheureusement, les tribunaux tranchent rarement en leur faveur.

Avec Silence…on vaccine, Lina B. Moreco trace un portrait inquiétant de cette problématique qui touche l’ensemble de la société, dénonçant l’immobilisme des autorités de santé publique. Tourné au Québec, en France et aux États-Unis, son documentaire souligne l’ampleur du phénomène. Outre les victimes, les familles et les citoyens, des chercheurs de haut niveau donnent leur avis sur la question et aident à démystifier les processus complexes régissant les effets secondaires de la vaccination.

Un nombre sans cesse croissant de vaccins sont désormais fortement recommandés au Québec, sinon rendus obligatoires aux États Unis et en France, sans une évaluation précise des risques potentiels. Nous donne-t-on toute l’information nécessaire lorsque vient le temps d’être vacciné où lorsqu’un de nos enfants doit l’être? Nous offre-t-on vraiment la possibilité de faire un choix éclairé? La mère d’un enfant normal devenu autiste après une séance de vaccination résumera bien le paradoxe : « Aujourd’hui, je me dis que je n’aurais jamais dû écouter le médecin quand il m’a dit que mon enfant avait besoin d’être vacciné. Mais le médecin lui-même pensait que c’était pour le mieux… »

Silence…on vaccine met en lumière la nécessité de soutenir des recherches pour mieux comprendre les effets à long terme des vaccins et ainsi mieux protéger la minorité à risque. Ce documentaire profondément humain soulève une question aussi fondamentale que troublante : combien de personnes peut-on accepter de sacrifier au nom du bien commun?

Lina B Moreco / vaccinedoc@hotmail.com

POUR ACHAT version française :  www.onf.ca/boutique     

SHOTS IN THE DARK  A film by Lina B. Moreco

NATIONAL FILM BOARD OF CANADA. 

Since they were introduced in the early 20th century, vaccines have been a tremendous medical and scientific success. Today perceived as a necessity, they are so familiar to us that their potential risks are rarely mentioned.

However, the stakes are significant. Based on recommendations of health agencies, North American children receive about 48 doses of 14 different vaccines before the age of 6—double the amount prescribed 25 years earlier. Despite this extraordinary increase, few independent studies have been conducted into their side effects, even though vaccines contain toxins such as mercury and aluminum.

Several worried pediatricians and scientists are sounding the alarm. Research underway seems to indicate that, among certain people, vaccination is directly responsible for a variety of immune or neurological disorders such as autism, multiple sclerosis or Guillain-Barré syndrome. Despite these findings, the pharmaceutical industry, government authorities and the medical profession deny there is a serious problem.

There’s also the issue of victim compensation. In France and the United States groups like REVAHB are trying to obtain compensation for victims, since existing indemnification programs are difficult to access due to overly strict criteria.

With Shots in the dark, Lina B. Moreco paints a disturbing portrait of this social problem and reveals the intransigence of public health authorities. Filmed in Quebec, France and the U.S., her documentary highlights the seriousness of the situation.

Do we get all the information necessary when the time comes for us or our children to be vaccinated? Are we really able to make an enlightened decision?

Shots in the dark underlines the necessity of supporting research to understand its long-term effects and help protect the minority at risk. This deeply compassionate documentary raises a basic and disturbing question: How many people are we willing to sacrifice silently in the name of the greater good?

Voir extrait sur YOUTUBE :http://www.youtube.com/watch?v=4zunVhNNXEY

Purchase english version   – NO MORE AVAILABLE FOR SALE ???

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Lina B. Moreco  Lina B Moreco

Je me suis toujours sentie préoccupée et interpellée par la société et les êtres humains qui la tissent. J’ai commencé à faire du cinéma pour démystifier cette société.

En 1988 je laisse mon travail de technicienne en architecture et je retourne aux études pour réaliser un baccalauréat et une maîtrise en cinéma. Dès 1989, alors que j’effectuais mes études, je réalise mon premier court métrage de fiction Pollution de famille  qui remporte le prix de la relève universitaire de l’Académie canadienne du cinéma.  Ceci me permet d’aller plus loin et de compléter une maîtrise en cinéma durant laquelle je réalise De l’autre côté du monde (1990) qui trace le portrait de quatre enfants mésadaptés socio-affectifs.

À partir de ce moment, j’ai décidé de me consacrer principalement aux sujets documentaires posant des questions d’éthique sociale. Mes films visent notamment à mettre en lumière la façon dont les êtres les plus vulnérables sont traités par les détenteurs de pouvoir.

Primé par Sida-secours et Radio-Québec, Vivre à mort (1992) explore la réalité des personnes itinérantes alors que La Mort des masques (1995) s’attarde au sort des prisonniers réhabilités. Évitant les pièges du voyeurisme, j’ai voulu aller au fond des choses, ne pas porter un regard extérieur mais aborder les sujets dans leur complexité. Comprendre le pourquoi des faits.

Par la suite L’office national du film m’offre de réaliser deux documentaires dans le cadre d’une résidence.  Je réalise Croire (1997) qui propose un questionnement sur la foi et l’invention de Dieu, et puis je réalise Mourir pour soi (2002) sur le droit de mourir dignement .  La sortie en salle de ce film me fait rencontrer des parents qui attirent mon attention sur le sort des enfants malades.

Par la suite, les révélations bouleversantes d’un médecin en pédiatrie me convainquent de l’urgence et de la nécessité de tourner un documentaire sur les conséquences dramatiques de l’acharnement thérapeutique en pédiatrie. Je mets en lumière une réalité méconnue avec Médecine sous influence (2004) qui récolte le prix Gémeaux du « Meilleur documentaire à caractère scientifique ».

Dans le cadre de la recherche de ce film je rencontre certains parents dont les enfants ont développé des maladies neuro-immunitaires à la suite de vaccinations. Poussant mon enquête un peu plus loin, je découvre que, malgré la fréquence de tels accidents post-vaccinaux, la loi du silence continue de régner au sein de la profession médicale. Émue par le peu de recours accessibles aux victimes, je réalise Silence, on vaccine.

POURQUOI le documentaire SILENCE, ON VACCINE ?

Il y a cinq ans, une famille québécoise m’a raconté l’histoire de leur petite fille qui, à l’âge de quatre mois, a vécu un choc neurologique grave à la suite de sa vaccination avec le DTaP. Née avec une microcéphalie, elle se développait presque normalement, puis, quarante-cinq minutes après l’inoculation du vaccin, elle s’est retrouvée à l’urgence où elle est restée pendant plusieurs jours. À partir de ce moment, elle a régressé à un degré zéro de développement, celui d’un enfant naissant, un niveau qu’elle n’a jamais dépassé par la suite.

À cette époque, j’ignorais qu’on pouvait connaître une si vive réaction à la vaccination. J’ai donc entamé une recherche pour en savoir davantage. J’étais plutôt sceptique. Au bout de quelques mois, j’ai compris que la petite fille n’était pas un cas rare, qu’elle faisait partie d’un sombre tableau qui intégrait plusieurs personnes au Canada et ailleurs dans le monde. Ces victimes ne représentent peut-être qu’un petit nombre, ce petit 0,01 % si souvent évoqué par les organismes de santé publique lorsqu’il est question des risques de séquelles graves, mais elles sont des vies humaines.

Pour moi, elles n’étaient plus ces chiffres silencieux, ces presque rien, elles étaient des enfants, des adolescents et des adultes. Des victimes atteintes de sclérose en plaque, d’autisme régressif, de Guillain Barré, de paralysie générale, c’est-à-dire de troubles immunologiques ou neurologiques. Certaines d’entre elles étaient mortes. Elles payaient de leur santé le risque du bénéfice des vaccins.

Ce sont des histoires de vies cachées.

En fait, pour les experts en santé publique, « il n’existe pas de preuve scientifique établissant hors de tout doute une relation de cause à effet entre la vaccination et les maladies dont ces personnes sont affligées». Conséquemment, pour établir le lien de causalité, les personnes malades doivent s’armer d’un avocat, étaler leur histoire en justice, confronter les experts de l’industrie pharmaceutique et prouver aux organismes de santé publique que le vaccin a détérioré leur santé. C’est chaque fois le combat entre David et Goliath dont les médias parlent peu.

J’ai réalisé ce film pour briser le silence.

Si des populations entières doivent pouvoir profiter des bénéfices de la vaccination, n’est-il pas essentiel que la société protège et porte secours à ces victimes qui incarnent l’inévitable pourcentage de risque en principe assumé? Est-il acceptable de continuer à les abandonner sans recherche adéquate, sans recours médical et sans soutien social?  Est-il normal que le principe de responsabilité disparaisse quand vient le temps de reconnaître qu’une pratique médicale blesse au lieu de protéger?

Ces questions sont essentielles car plusieurs vaccins sont actuellement en développement dans divers laboratoires, entres autres ceux contre contre le sida, le cancer du sein, le cancer de la prostate, le cancer du côlon, la leucémie, les mélanomes, la maladie d’Alzheimer, la sclérose en plaques, le diabète, l’asthmela zonal’obésitéle tabagisme, la dépendance à la cocaïne, l’hypertension, la grippe aviaire, la dengue, l’infection des oreilles, les caries, les ulcères, la chlamydia, etc.

Nous pouvons  prévoir que dans un avenir rapproché, les enfants recevront autour d’une centaine de doses de virus vaccinaux et que les adultes pourraient en recevoir tout autant au cours de leur vie.

Cet amoncellement de nouveaux vaccins posent aussi une autre question essentielle : Les enfants de demain devront-ils  tendrent le bras toute leur vie pour s’immuniser contre les maladies ? Deviendront-ils les esclaves d’une industrie pour survivre ou pour vivre tout simplement ?

Lina B. Moreco vaccinedoc@hotmail.com

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http://blogue.imtl.com/2009/09/sortie-du-dvd-silence-on-vaccine-de-lina-b-moreco/

16 Responses to Film

  1. Marie-Josée dit :

    Lina,

    « Silence, On vaccine », est un travail d’orfèvre et je voulais te remercier sincèrement, arriver à mettre des mots, des images, des chiffres avec toute ta douceur et ta retenue, m’a émue et déchirée à la fois. J’ai pleuré, bouilli, souffert sur ces pauvres victimes et un peu égoïstement sur mon propre sort. Tu as réussi à officialiser la compassion pour tant de personnes qui se sentent trop souvent isolées et laissées à elles-mêmes. Hier soir je me suis sentie entourée, supportée et j’ai compris ce que pouvait ressentir des gens comme Pascale, Éric et tous les parents de ces pauvres petites victimes et les autres, les malades atteints de lupus, de sclérose en plaque ou souffrant de complications de tous genres.

    Je ne sais pas si cela me rendra les rencontres médicales plus faciles, mais dans mon coeur, dans ma tête je vais me sentir plus forte, supportée et tout cela grâce à toi et à ton travail formidable. Lorsque je refuserai la médication, lorsque je chercherai un minimum d’empathie, je ne me sentirai plus jamais comme une entêtée, une illuminée et j’aurai les arguments de poids pour expliquer mes craintes, mes anticipations.

    Ton film est un argument de poids pour prouver qu’il faut rester vigilant et de garder toujours en mémoire que nous avons le droit à un minimum de respect et d’écoute.

    Les jours où je connaîtrai du découragement, j’espère me souvenir bien clairement des sentiments qui m’ont envahie lors du visionnement d’hier, personne n’a le droit de se servir de nos vies, de notre santé pour s’enrichir, personne n’a le droit de se servir de notre corps pour expérimenter Dieu sait quelle drogue, pour redorer sa médaille. Et surtout personne n’a le droit de nous humilier quand on décide de choisir de ne pas jouer le jeu de la médecine sous influence.

    Ta grande compassion a mis un baume sur mes blessures, a calmé mes colères, je te l’ai déjà dit je suis très impressionnée par ta grande humanité, des personnes comme toi, il en faudrait des milliers, par ton film tu m’as fait réaliser qu’il y en a plus que je pensais, ça fait du bien.

    Maintenant je sais que plusieurs personnes se soucient de l’avenir, essaient d’éclairer les consciences et apprennent aux gens qu’ils ont des droits me rend la vie plus douce et j’imagine que ce phénomène est exponentiel, je le souhaite de tout coeur.

    Il y a eu Mourir Pour Soi qui m’avait réconcilié avec mes choix, maintenant il y a Silence, On Vaccine pour me donner de l’espoir.

    Tu es une sacrée bonne femme, Lina, et je tenais à te témoigner toute mon admiration. Merci beaucoup.

    Marie-Josée

  2. Julie dit :

    Bonjour Lina ! Moi aussi, je vous suis très reconnaissante d’avoir réalisé ce film. Il était temps qu’il en sorte un sur le sujet.

    Je me permets un commentaire car je suis du genre radicalement opposée à tout vaccin. Il est écrit, au début de la présentation « Depuis leur mise au point au début du 20e siècle, les vaccins constituent une formidable réussite médicale et scientifique. » Voilà une affirmation qui à le mérite de ne mettre en confiance un public qui aurait sans doute été rebuté par un ton trop radical.

    Par contre, cette croyance est totalement remise en question par plusieurs chercheurs sérieux qui se sont penchés sur la question du vaccin. Moi-même, après plusieurs lecture et discussions, je ne crois plus à l’utilité des vaccins. D’après les informations que j’ai pu aller chercher, ils auraient détruit beaucoup plus de vie qu’ils n’en ont sauvés.

    Ma remarque est peut-être audacieuse, pourtant, il existe de la documentation à ce sujet. Il s’agit de fouiller un peu pour comprendre que toute l’histoire de la vaccination, depuis 200 ans, est truffée de falsifications, de mensonges et de manipulations. Pour des questions d’argent, de pouvoir et de prestige.

    Pour l’instant, on commence timidement à mettre en doute certains vaccins et la façon dont ils sont administrés. C’est bien. C’est même inespéré, étant donné la résistance énorme du corps médical et de l’industrie pharmaceutique. Mais j’ose souhaiter une remise en question profonde, voire totale, de la pratique vaccinale dans avenir proche.

    Julie

  3. Lise Lauzon dit :

    Bonjour!Comment ne pas être concerné devant le mensonge de l’histoire, sur la vaccination.J’ai mal à l’âme de réaliser que beaucoup de personnes souffrent aujourd’hui des nombreux effets secondaires de la vaccination, qui se disait pourtant une protection…WOW!!!

    Des organismes supposément au service de la santé se sont amalgamés avec les pharmaceutiques dans le but de promouvoir des produits et services, pour augmenter les fonds de ces di tes compagnies. Il est abberant de constater lobéisme gouvernemental.

    La vaccination abusive sur des enfants âgés de moins de deux ans représente de très gros risques de développer des effets secondaires à long terme tel que la sclérose en plaque, l’autisme et bien d’autres.
    Il est d’autant plus choquant de voir que ces actions se font en toutes liberté. Surtout lorsque l’on considère qu’elles peuvent créer de grave problèmes neurologiques dont personne ne parle.

    Ma nièce souffre de sclérose en plaque, mon neveu est autiste et c’est probablement à cause de ces vaccins. Combien de personnes connaissez-vous qui sont victimes des affreux effets secondaires de la vaccination?

    Conscientisez-vous et regardez les ravages des vaccins.

    Qui profites à qui?

    Notre système immunitaire deviens l’esclave de ces vaccins, alors qu’une saine hygiène de vie ferait face à de nombreuse maladies naturellement.

    Qui plus est, les compagnies pharmaceutiques ajoutent du mercure et de l’aluminium, des matières hautement toxiques mais beaucoup plus rentable en fabrication pour produire ces supposés vaccins. Ils ont ajouté du thimérosul aux composantes initiales dans le seul but de réduire les coûts de production. C’est un acte réprimable!

    Notre corps cri alerte!

    Comment développer un système immunitaire sain si on lui injecte un tel poison.

    Réveillez-vous amis de la Terre et prenez soin de vous car ce n’est pas les compagnies pharmaceutiques qui le feront.

    une amie philantrope qui à foi
    en la conscientisation pour un
    meilleur monde…namatsé

  4. Hélène dit :

    Bonjour !
    Félicitations pour votre film. Je ne l’ai pas encore vu mais j’y compte bien.
    Après avoir lu les témoignages d’infirmières, je suis inquiète pour le choix de carrière fait récemment par ma fille de 16 ans.

    Elle vient d’être accepté en « soins infirmiers » au cégep et a reçu une lettre indiquant qu’elle devra avoir des vaccins. Savez-vous si ils sont obligatoires ? Si elle ne les veut pas, la refuseront-ils ? Quels droits a-t-elle ?

    L’insouciance de la jeunesse font qu’ils ne se posent pas de questions (elle et ses amis qui ont choisi ce métier), plusieurs ont commencé avec « joie » à recevoir ces vaccins !!! dont celui du papillome humain. Ils ont tellement confiance au système… J’essaie de mettre ma fille en garde des dangers que ça représente, mais ça l’exaspère… ça remet son choix de carrière en question. Tout le monde le fait, c’est correct !…

    C’est triste de penser que nos jeunes devront prendre le risque de détruire leurs santé (en se faisant vacciner) afin de faire le métier qu’ils souhaitent, soit de soigner des personnes malades ou blessées !

    Ma fille a eu pas mal tous ces vaccins étant enfants, mon fils aussi et jusqu’ici ils sont en bonne santé mais si c’était à refaire, je ne les auraient pas fait vacciné.
    Merci ! Hélène

  5. Julie dit :

    Félicitation pour votre film. Je dois absolument le voir…le sujet m’intéresse beaucoup.

    J’ai un petit garcon de 3 ans qui a reçu tous ses vaccins même ceux de la grippe. Un petit garçon qui fesait des otites à répétition ainsi que des pneumonies. J’attends un autre enfant et, de plus en plsu renseigné sur les vaccins, je ne pense pas continuer de faire vacciner mon fils pas plus que mon bébé à venir.

    Par contre, j’ai certaines peurs et j’aimerais obtenir plus ,dinformations sur le sujet. Y’a t- il des personnes autre que mon médecin (100% d’accord avec la vaccination)qui pourrais me renseigner sur le sujet?

    De plus, je me suis tourné vers ostéopathie pour regler les otites et les pneumonies de mon fils et croyez- moi ca fonctionne…trop de médicament et des vaccin par dessus le marché !

  6. catherine dit :

    Bonjour !
    j’ai une petite fille de 9 mois, et je me pose énormément de questions sur son carnet de vaccination. Je serais très intéressée à voir votre film. Est-il possible de le louer ?

    Merci d’avance

    catherine

    • Lina B. Moreco dit :

      Bonjour. Pour vous répondre, le film n’est pas encore disponible en vente commerciale sauf en France car une maison de production Française a co-produit le film et ils ont les droits Européens de distribution. C’est la maison PLAY FILM, à PARIS. Cependant une version abrégé du film, soit 52 minutes se retrouve sur YOUTUBE http://www.youtube.com/watch?v=cGCHgkAz2eg le film est coupé en 4 version. La version originale du documentaire est de 84 minutes. Merci beaucoup pour votre intérêt pour le film.

  7. JOBE Sandra dit :

    Bonjour, je n’ai pas encore vu le film mais j’ai lu 2 excellents livres publiés en Suisse, « Vaccination, le droit de choisir » de François Choffat et « Mon Enfant a-t-il besoin d’un pédiatre » de Françoise Berthoud. J’ai eu la présence d’esprit de refuser le vaccin à 2 mois afin de réfléchir…. En Suisse, aucun vaccin n’est obligatoire mais les pédiatres ne le disent pas…. ils présentent cela comme un passage obligé… Ensuite c’est à l’école qu’on essaie en douce de faire croire que c’est obligatoire, comme actuellement pour le papillomavirus pour les ados… c’est sournois…. J’ai refusé les vaccins, vous auriez dû voir la tête de la pédiatre ! Ensuite, elle a refusé de m’écouter car elle m’a dit que je n’y connaissais rien… :O) – Je lui ai rétorqué qu’elle n’avait pas la science infuse et que nous n’avions de toute façon pas les mêmes sources d’information… De toute façon, comme le dit F. Berthoud, mon enfant n’a pas besoin d’un pédiatre, il est allaité 100 % et la diversification se fait avec le soutien d’une naturopathe… Je voulais juste vous remercier pour ce film… je vais envoyer le lien de votre site à tous les sceptiques qui me traitent de « parent indigne »…

  8. Bonjour,

    je viens de publier un billet en lien avec votre film. J’y soulève une question concernant un élément publié dans cette page. Si cela est possible, vous seriez très aimable de venir y répondre.

    Merci.

    Le lien vers mon billet :

    « Silence on vaccine » et l’ONF : questions en suspens

  9. […] Ça m’a semblé presque trop gros pour être vrai, alors j’ai fait un peu d’investigation web. J’ai fait une recherche avec carrément l’extrait plus haut et ça m’a donné quand même beaucoup de résultats, sur des blogues, des sites et des forums (118). Et surtout, j’ai fait une recherche sur le blogue (très fourni) de la réalisatrice Lina B. Moreco. Je me disais qu’elle était la plus proche de l’ONF et qu’elle devait bien en parler si c’était vrai. Le mot-clé « ONF » n’a rien donné, alors, en dernier recours, j’ai parcouru sa page dédiée au film. […]

  10. Jacques Beauséjour dit :

    Le vaccin pour un animal vs le vaccin pour l’humain…

    Avant le 26 oct. 2009 notre chat Gédéon avait perdu 2.5 lbs. Pourquoi? Nous l’avons amené chez notre vétérinaire. Elle nous a dit qu’il avait une bosse dans le ventre et qu’elle pouvait l’opérer mais s’il y avait des métastases (cancer) ce serait mieux de l’euthanasier. Après deux jours de réflexion nous avons demandé de l’euthanasier. Le problème de santé de notre chat avait-il un rapport avec ce que je viens de lire dans un article paru dans la revue Protégez-vous Août 2006 : Enquête > Vaccination des chats et des chiens. Virage difficile. Voici des extraits de ce texte où j’ai souligné mes interrogations concernant les vaccins pour le chat. J’ai ajouté mes interrogations concernant les vaccins pour l’humain.

    «PAS SANS CONSÉQUENCE»
    «Plusieurs vétérinaires, comme le Québécois Charles Danten et l’Américain Ronald Schultz, ont remis en question la nécessité de vacciner systématiquement. Dans son livre Cap: santé (Communications holistiques, 2006), un livre récent sur la vaccination des chats et des chiens, Manon Bonneau abonde dans le même sens et fait le point sur les différents aspects de la question. Selon l’auteure, les vaccins ne sont pas des produits sans conséquence; les effets secondaires existent et certains ont des répercussions à long terme. D’ailleurs, le lien statistique entre l’administration de vaccins et l’apparition de tumeurs cancéreuses chez le chat est établi. … Il n’y a pas lieu de s’alarmer, précise toutefois Alice Bouffard, docteure en médecine vétérinaire à l’Agence, car dans 70 % des cas, il s’agit de somnolence, de perte d’appétit, de symptômes similaires à ceux que ressent l’humain après une vaccination. ….» Il est certain que les vaccins administrés au chat diffèrent de ceux administrés à l’humain mais jusqu’où l’humain peut-il être affecté négativement par des vaccins? Est-ce que ça veut dire que l’humain n’a rien d’animal et qu’il est protégé contre les effets négatifs des vaccins et même des tumeurs cancéreuses? Quels sont les conséquences à long terme des vaccins que reçoivent les personnes?
    Concernant le vaccin grippe A H1N1 notre réponse c’est NON MERCI!
    Jacques Beauséjour, député PQ comté d’Iberville 1976-1985

  11. Joanna dit :

    Merci Lina !
    Continuez le combat !!!

  12. nello dit :

    Je m’appelle Nello, né le 17/10/2010. j’étais un beau et gentil bébé qui faisait le bonheur de mes parents.jusqu’en juillet 2012,ils ont eu le plaisir de me voir évoluer normalement.Nous avions tout pour être heureux. j’étais bien portant. Par une belle journée du début de juillet, ma Maman m’a emmené pour mon dernier rappel de vaccin « PRIORIX ROR ».A deux mois j’ai été soigné pour la rougeole à l’hôpital d’Annecy.Peu de temps après ce vaccin de rappel, plus rien n’allait aussi bien.On s’est demandé pourquoi, en marchant joyeusement à 4 pattes,les pouces de mes mains rentrait vers l’intérieur, je marchais donc dessus. Puis petit à petit se sont mes mains qui se fermaient et mon évolution à 4 pattes se faisait les point fermés… En aout 2012, je n’ai plus la même vitalité, j’étais fatigué je ne me mettais plus debout pour essayer quelques pas. Une nuit, fin aout 2012,je me suis réveillé pris d’une douleur intense, probablement dans la tête. Inquiets mes parents ont tout fait pour me réconforter dans leur bras, ils m’ont donné un anti-douleur, mais rien y faisait. mes muscles se crispaient… J’étais recroquevillé en boule dans les bras de mes parents,mon corps étais complètement fermé avec cris et pleurs de douleurs. Maman et Papa m’ont emmené à l’hôpital. Il s’en est suivi plusieurs longs séjours d’hospitalisation et beaucoup d’examens.Avec des résultats toujours trop flous. Aucun diagnostic ne nous a été clairement expliqués. Nous ne demandions qu’à faire confiance à la médecine. Le premier IRM effectué seulement un an après pour le résultat suivant : « A l’étage sus tentoriel, le volume ventriculaire apparait augmenté, avec une trop belle visibilité des espaces sous archoidiens sans mise en boule des cornes temporales, orientant plus vers une atrophie de la substance blanche que vers une hydrocéphalie. » Les neuro-pédiatres d’Annecy, ainsi que le professeur Chabrol de l’hôpital de la Timone à Marseille ne trouvent rien.L’histoire du vaccin, après la rougeole, les médecins n’en parle pas « sujet tabou » Aujourd’hui encore, assisté de mes parents et de spécialistes « lesquelles? » Je me bats contre un mal qui me ronge, tout n’a fait que s’aggraver. je ne peux plus marcher, je ne parle plus, ne peut plus saisir d’objets pour jouer, ne peux plus soutenir ma tête ni mon dos. Mes muscles sont raidis, tendus; ne peux plus contrôler mes membres qu’avec énormément de concentration. Mes parents et moi aimerions trouver des témoignages d’enfants qui auraient vécu cette terrible épreuve. Que vais-je devenir?
    voici pour tout renseignement ou contact mon site: http://nelloeag.wix.com/nello—eag

    • Lina B. Moreco dit :

      Bonjour,
      Je me suis permise de mettre votre récit dans la section VICTIME de mon BLOG.
      Merci pour votre témoignage.
      Lina B. Moreco
      Silence on vaccine.

      • brasseur dit :

        A lire : LES 10 PLUS GROS MENSONGES SUR LES VACCINS de SYLVIE SIMON aux EDITIONS DANGLES. Egalement très intéressant : LA DICTATURE DES LABORATOIRES CHIMIQUES ET PHARMACEUTIQUES de LOUIS BON de BROUWER aux EDITIONS ATRA.

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