Vaccination la problématique continue.

La réflexion devient de plus en plus vivante, palpable,  maintenant que le documentaire est découvert par un nombre de plus en plus important de personnes via internet. D’une part, le film et son BLOGUE  semble répondre à une demande de la population, soit un besoin d’informations différentes – et d’autre part, le milieu médical ferme la porte à tout questionnement et dit que mon film est un tissus de mensonges.

Combien de témoignages je reçois, jour après jour, de parents qui me racontent avoir subi du harcèlement, de la pression, voir aussi de l’agressivité, parce qu’ils ont posé des questions,  parce qu’ils désirent espacer les vaccinations de leur enfant ou les remettre à un peu plus tard, après l’âge de 2,3 ou  4 ans.

« Il est impossible de discuter avec le pédiatre de quoi que ce soit »  témoignent-ils.

Est-ce vraiment le rôle du  médecin d’agir de la sorte ?  Ne devrait-il pas accompagner les parents dans leurs questionnements, dans leurs voies distinctes, et ainsi respecter leurs choix au lieu de les chasser comme des infidèles ?

Au Québec, je le rappelle, nous sommes libres de faire vacciner nos enfants ou non.

Alors pourquoi  une telle pression sur les parents qui  agissent différemment de la volonté médicale, et pourquoi sont-ils taxés d’irresponsables ?
Certains parents, pour retrouver leur droit de choisir et taire toute pression à leur égard, ont demandé aux professionnels de la santé qui insistaient pour vacciner leur enfant, de signer un Formulaire de responsabilité du vaccinateur en cas de développement d’effets secondaires. Comme aucun professionnel ne veut prendre sous sa charge cette responsabilité, la pression a diminué, pour ne pas dire disparu.

Actuellement, nous  vivons tous une pression sociale qui repose sur le marketing de la peur, on nous fait trembler avec la maladie mortelle comme si elle nous pendait au bout du nez.   On nous effraie avec des déclarations d’épidémies  – d’histoires d’enfants non vaccinés décédés  – et cela, sans oublier de déclarer avec certitude,  qu’un enfant non vacciné est un danger pour la société.

Pourtant, en même temps, certaines des maladies graves de l’enfance tel l’autisme, se développent entre un an et deux ans et demi ( à peu près) selon le milieu médical, et cela n’aurait rien à voir avec la multitude de vaccins que l’enfant reçoit durant la même période.  Pourquoi ne pas en être certain et cesser toute vaccination durant la période sensible, vulnérable du développement d’un enfant ? Le fait d’inoculer un vaccin un peu plus tard dans la vie de l’enfant pourrait-il être vraiment dangereux ?

Repenser la vaccination une issue sociale normale.

Nous sommes de plus en plus nombreux à nous soucier de notre environnement, des produits toxiques utilisés dans la fabrication des aliments et dans les produits de notre vie quotidienne.  Nous sommes de plus en plus nombreux à comprendre que la santé commence par repenser ce qui entre dans notre corps, ce qu’il y a dans notre assiette, ce que nous consommons au quotidien.

Conséquemment, il est tout à fait normal que ce que ceux-là mêmes qui se posent des questions, qui réajustent leurs habitudes de vie, le fassent tout autant pour la vaccination.

Ceux qui s’informent ne le font pas qu’à moitié.  Ils savent que les vaccins sont composés de différentes substances chimiques,  que l’effet escompté d’un vaccin dépend du système immunitaire de la personne vaccinée, que chacun de nous n’avons pas le même organisme ni les mêmes capacités ou failles, que nous n’avons pas le même terrain.

Par exemple, un enfant malade ou affaibli à la naissance a un terrain différent.  Alors ils posent des questions :  Cet enfant différent,  devrait-il recevoir un vaccin au même moment que l’enfant en pleine santé ?  Ne devrait-il pas être administré plus tardivement ?  De même, si un enfant fait ses dents, de la fièvre, vit quelque chose de difficile à la maison, ne vaut-il pas la peine de  repenser la vaccination pour cet enfant là,  attendre qu’il retrouve son énergie et toutes ses forces ?

Comme la vaccination des enfants est recommandée selon un calendrier universel, on ne regarde pas la vaccination autrement.  On ne propose pas des injections qui correspondent au rythme biologique de l’enfant. On nous vaccine comme on le fait pour un troupeau de mouton, les uns après les autres.  Vous êtes allergiques aux oeufs, on vous donne tout de même le vaccin de la grippe par exemple.

Alors, la question n’est pas de savoir s’il est opportun ou non de vacciner mais de savoir comment on peut changer le cours des choses et respecter le développement et la santé de chaque personne et d’accompagner ceux qui voient la santé et la vaccination autrement.

Tableau démontrant que l’arrivée des vaccins dans l’histoire,  s’est souvent réalisée dans la période décroissante des maladies.  http://www.scribd.com/doc/20442015/Vaccine-Evolution-Graphics-The-truth-about-diseases-disparition

Lina B Moreco: vaccinedoc@hotmail.com

2 Responses to Vaccination la problématique continue.

  1. Lyne dit :

    C’est dont vrai la pression que nous avons pour les vaccins. J’ai dit à ma fille, pour éviter le jugement des autres, de tout simplement dire qu’elle ne peut avoir de vaccins pour raison médicale.
    Quand tu es obligé de mentir pour avoir la paix, ce n’est pas normal.
    Dernièrement, il y a eu le vaccin de la rougeole. Ma fille a eu un rappel. Dans le questionnaire il était écrit pour ceux qui devait avoir le vaccin :
    1 ceux qui n’ont jamais eu le vaccin.
    2. ceux qui n’ont pas eu deux doses.
    3. si vous n’avez pas l’information si oui ou non, il a eu son vaccin, il faut le faire vacciner…. Quelle aberrance. Ce qui veut dire tu es peut-être protégée mais comme nous ne gardons pas les donner et bien prenez pas de chance faites-vous vacciner une autre fois.

  2. Lyne dit :

    J’ai écris elle a eu un rappel mais j’ai refusé le vaccin.

Laisser un commentaire